Kopar Express dans le collimateur de la Sûreté urbaine. Les policiers qui ont ouvert une enquête contre ladite société ont même effectué hier vendredi, une descente dans leur siège. Selon Libération, les dirigeants cette Fintech sont soupçonnés de «fraude fiscale et blanchiment de fraude fiscale».
Arrêté devant chez lui à Mermoz mercredi, puis placé en garde à vue, Mohamed Samba Djim dit «Hannibal Djim », auteur de plusieurs «cagnottes » sur les réseaux sociaux, a été interrogé, entre autres, sur ses possibles liens avec la société «Kopar express Sarl». Il avait indiqué n’avoir aucune relation particulière avec cette Fintech ou connaître ses dirigeants. Il avait aussi indiqué que ces cagnottes n’ont jamais servi à financer des mouvements séditieux.
Hannibal Djim a été déféré hier au parquet pour financement d’activités séditieuses et subversives, appel à l’insurrection, incitation à des actes de nature à troubler la sûreté de l’Etat et apologie de la violence.
