Décapité de ses têtes pensantes et acteurs de premiers plans, le Parti socialiste reprend à vivre. Décidé à rester dans le jardin présidentiel, Ousmane Tanor Dieng a, hier samedi, convié ses camarades pour s’expliquer sur sa gestion de l’affaire Khalifa Sall. Mais, aussi, pour continuer à tirer la manchette à Macky Sall et le Benno.
https://youtu.be/THlSI49vMF4
Ousmane Tanor Dieng est en campagne. Décidé à rester dans la basse cour du palais, l’homme le plus puissant du Sénégal dans les années 1990 a décidé de porter des habits de larbins. Hier, pour sauver ce qui peut encore de l’être de son moribond parti socialiste, il a convié ce qui reste de ses camarades du Bureau Politique pour se laver à grande eau. Et tirer la manchette à Macky Sall présenté comme “le grand économiste qui a réussi à maintenir la croissance à un niveau jamais atteint.”
Obligé de se prononcer sur l’affaire Khalifa Sall, Ousmane Tanor Dieng a déclaré que “c’est pour protéger son mouvement politique” que, ce qui reste du PS, a pris la lourde responsabilité de se séparer des récalcitrants coupables d’avoir perturbé les rencontres du 5 mars 2016; rencontre terminée par des jets de pierres et des menaces de mort. Comme lui, les responsables de Vision Socialiste ont dit leur confiance en la justice sénégalaise qui a été magnanime envers Khalifa Sall comme Bamba Fall.
Mon cher Babacar Toure, commentaires libres mais les faits sont têtus. Je te l accorde volontiers, mais Ousmane Tanor Dieng est bel et bien, dans son rôle de reconstruction du parti socialiste Sénégal New look. Nous venons de loin, nous avons su résister avec lui aux assauts du pouvoir libéral de l autocrate Abdoulaye Wade, durant 12. Otd, en homme responsable repoussa toutes les propositions de ce monsieur arrive au pouvoir par défaut. Notre compagnonnage avec le président, Macky SALL n est pas un hasard. Nous y sommes allés en responsables et patriotes depuis bientôt 7 ans. Pour le reste, l histoire se chargera de tout.
tanor tu et nuisible dans notre société ndakh yow bakhou tey bakhou souba
Les parasites de la république