Journalistes, technologues et militants des droits de l’homme se sont rencontrés mercredi lors de la conférence de presse de Babacar Touré. Connue sous le nom de Conseil des médias, l’initiative de la Coordination des associations de presse (CAP) vise à être la première grande action commune des acteurs des médias pour exiger la libération du reporter Pape Alé Niang.
Confidentialité professionnelle. La réunion a eu lieu au pied de l’immeuble et a été suivie par divers organes de presse nationaux et internationaux. Divers intervenants se sont succédé sur les marches de l’édifice. Pour Sadibou Marong, directeur Afrique de Reporters sans frontières, toutes les parties doivent pouvoir s’asseoir autour d’une table pour le bien commun : « Quand je dis plaidoyer, je ne dis pas pression. Cela veut dire que les associations de presse sont généralement très disposées à parler. aux autorités.
Mais de l’autre côté également, nous lançons un appel aux autorités pour qu’elles puissent avoir la même dimension que les associations. La presse peut pouvoir se mettre autour d’une table et discuter. Il y va des enjeux démocratiques dans ce pays mais il y va surtout de la liberté de la presse. »
