Dans une tribune postée sur sa page Facebook et reprise par la presse, le journaliste Jean Meïssa Diop émet des doutes sur l’authenticité du cambriolage d’un temple maçonnique, à Dakar, par des membres de Jamra, en 1985, tel que raconté par Mame Makhtar Guèye dans une interview accordée à Seneweb. La réponse du secrétaire général chargé de la communication de l’Ong islamique ne s’est pas fait attendre.
ENCORE ET TOUJOURS CE JEAN MEISSA DIOP, qui se livre à son sport favori : tirer à tout bout de champ sur Jamra ! Au moment où toutes les bonnes volontés se mobilisent pour tirer d’affaire imam Taïb Socé, victime d’un escroc sans foi, ni loi, ce monsieur a trouvé le temps (et le cœur) de vouloir nous divertir, en remettant au goût du jour son inexplicable rancœur envers Jamra (Latif Guèye, qui fut son collègue à ‘’Walfadjri’’) en riait souvent d’ailleurs !
Ce monsieur n’a jamais pu digérer les légitimes combats que mène Jamra pour la défense de nos valeurs culturelles et religieuses. Il l’a encore récemment démontré lors de notre bras de fer contre les dérives audiovisuelles. Il a peut-être des raisons que lui seul peut expliquer.
Il a consacré son “éditorial”-Facebook de ce jeudi 1er août (reprise par Seneweb) à tourner en dérision l’opération nocturne que Jamra avait courageusement menée, pour dérober des “feuilles de présence” de rencontres maçonniques, pour préparer notre défense, en perspective du procès qui devait opposer Latif Guèye, fondateur de Jamra, à la loge de Dakar.
Les 5 pages de la “feuille de présence” d’une rencontre maçonnique, dont la publication d’une seule page par Jamra avait fait les dégâts que l’on sait, au point de nous avoir valu ce procès retentissant, en 1985 (que nous avons gagné avec le soutien actif du khalife Mame Abdou Aziz Sy Dabakh, et la forte mobilisation des croyants de ce pays). Peut-être donc, disais-je, que cette liste, dactylographiée sur papier entête de la loge, était miraculeusement tombée du ciel sur le crâne de Latif ! Et que le plaignant (un ambassadeur du président Abdou Diouf) ainsi que les juges en charge du dossier étaient peut-être aussi des extraterrestres. Qui sait !
Bref, ce “monsieur-éternel-anti-Jamra” dans l’âme a sans doute une autre explication, plus… irrationnelle ! Jamra le remercie quand même de s’intéresser à nos 36 ans de combats et de réalisations concrètes (Jamra ayant été portée sur les fonts baptismaux en février 1983) ! Et lui demande de bien vouloir prendre encore son mal en patience, car… le combat continue, incha Allah !
