Lors des événements de mars 2021, des éléments en civil ont été vus aux côtés de la police. Suffisant pour que le ministre de l’intérieur soit interrogé sur la présence oui ou non de nervis au sein des corps de la force publique lors de son passage à l’assemblée ce dimanche.
Mais antoine Diome balaie en touche. «La police ne s’attache pas les services de nervis », a-t-il précisé avant d’expliquer : « au sein de la police nationale, il y a des hommes et des femmes habillés en tenue et ceux en civil qui s’emploient quotidiennement, à assurer la protection de tous les citoyens qu’elle que soit leur coloration politique ». Par ailleurs, avec insistance et persistance, la question des noms de famille apparentés à d’autre dans la sous-région obligeant la présentation de certificat de nationalité avant l’obtention de la carte nationale d’identité, est revenue dans les débats.
C’est vrai et le ministre de l’intérieur reconnaît, Cependant, Antoine Diome, a rassuré que désormais, ce problème va être, dans un court délai, un mauvais souvenir. «Des dispositions sont prises pour que les personnes portant des patronymes partagés avec des populations de la sous région ne seront plus dans l’obligation de produire un certificat de nationalité pour se faire établir une pièce identité », a rassuré le ministre de l’intérieur.
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