L’espoir est encore permise dans le traitement de l’affaire Pape Alé Niang. Alors que certaines judiciaires ont laissé entendre que la messe est dite pour notre confrère, des journalistes -membres des syndicats de défense de la profession- croient que “rien n’est encore perdu.”
“Contrairement à ce qu’ils veulent faire croire, l’espoir est encore permis. Nous continuons à taper à des portes pour essayer de trouver solutions.” A laissé entendre Ibrahima Lissa Faye. Pour lui, comme pour de nombreux syndicalistes, des précédents cas sont là pour rappeler qu’on peut encore arrêter cette machine. “En tout cas, nous allons nous organiser pour défendre notre confrère, Pape Alé Niang.
Que tout le monde reste à l’écoute. Nous sommes toujours décidé à défendre la profession et si nous laissons cette situation continuer, nous serons tous en danger.” A fait entendre Ibrahima Lissa Faye. Aussi, Ibrahima Lissa Faye, le président de l’Association des professionnels de la presse en ligne (Appel), veut “que tous restent à l’écoute, nous allons donner un mot d’ordre. Et il faut que tous les journalistes s’y plient.”
