Ce mardi, les membres du Comité des femmes de la Fédération sénégalaise des associations de personnes handicapées se sont réunis à Guédiawaye, pour se pencher sur la promotion de l’éducation des jeunes filles handicapées et leur maintien dans le système scolaire.
En effet, ce programme a été initié pour offrir aux personnes handicapées une meilleure prise en charge des besoins spécifiques dans les budgets locaux afin de pouvoir apporter leur participation dans le domaine de l’éducation inclusive. Ces dernières demandent l’application de l’article 24 de la convention relative aux droits des personnes handicapées;
Selon l’organisation, les handicaps sont variables, tant par leur nature, leur gravité et leur durée que par leur contexte social. Par conséquent leurs besoins en matière d’éducation peuvent également s’avérer très différents. Pour le cas des personnes handicapées atteintes de surdité, cela nécessite des enseignants formés en langue des signes ou la présence de tiers tels que des interprètes en langue des signes qui disposent d’une bonne compréhension des signes du patient.
Par ailleurs, la langue des signes a été davantage intégrée pour une meilleure inclusion de personnes atteintes de déficience auditive. Elle est définie comme étant une langue gestuelle et corporelle des sourds déficients auditifs.
