Depuis le décès de François Mancabou, des éléments de l’enquête sont exposés sur la place publique via des quotidiens d’informations. La dernière en date est le résultat de l’autopsie divulguée par nos confrères du quotidien « Libération » révélant que François Mancabou est mort d’une «fracture du rachis cervical ayant entraîné des complications neurologiques». Par ailleurs, les médecins légistes ont affirmé, selon le journal, qu’aucune trace de violence n’était visible sur le corps de la victime.
Dans plusieurs tweets, l’un des avocats de Mancabou a tenu à alerter sur ces fuites. « Des informations sont fuites chaque jour dans la presse sans réaction du directeur de l’enquête, Monsieur le procureur de la République ». Malgré cela, la divulgation de certains éléments de l’enquête semble profiter au pool d’avocats. C’est du moins ce que fait savoir maître Kabou.
Allant plus loin, il déclare même « qu’il manque au Pool d’avocats juste un tout petit détail que sûrement il aura via la presse ces jours qui viennent ».
Pour rappel, certaines dispositions du code de procédure pénale interdit la divulgation des éléments de l’enquête car violant son secret
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