Tag: MFDC

Casamance : 9 exploitants forestiers violemment battus par des hommes armés à la forêt de Bayotte-Est

Le 14e anniversaire du rappel à Dieu  du leader mythique et charismatique du Mfdc, Abbé Diamakoune Senghor, communément appelé Papa Koulimpi (13 février 2007),...

Attention aux petits événements qui risquent d’alimenter le conflit casamançais et provoquer la résurgence. L’alerte est sonnée par le professeur Noha Cissé. Dans son...

Société: Salif Sadio reprend la parole, met en garde le président gambien, Adama Barrow et campe sur sa position...Société: Salif Sadio reprend la parole, met en garde le président gambien, Adama Barrow et campe sur sa position...

Contour des negociations entre l'Etat et le MFDC

our Me Clédor Ciré Ly, "ce refus d’expertiser les appareils -puisque seulement deux ordinateurs et des téléphones portables ont été saisis dans le cadre de cette affaire- nous prive de la possibilité de rapporter la preuve de la contrevérité de ce que l’enquête de gendarmerie a faussement établie." S'il n'y avait que ces anomalies dans la procédure dite de l'affaire Boffa Bayotte, il y en aurait déjà trop pour une justice qui se veut d'un Etat de droit.  Mais, il n'y en a pas que ça. Alors que la loi l'y oblige et qu'il ne semble être disposé à le faire, l'instruction doit aussi répondre devant la chambre d'accusation du refus par le juge d'instruction

Assassinat d’un ancien chef du MFDC : "seule l’enquête pourra faire la lumière sur les circonstances de la mort", selon Robert Sagna

Bignona : Un ancien combattant du MFDC criblé de balles par des hommes armés

C'est une exclusivité Kewoulo. Un groupe de jeunes partis du village de Singhère Baïnounck pour chercher des "Maad" ont été surpris en brousse par...

"Encagoulés et lourdement armés, ils ont fait le tour des maisons pour nous demander de partir delà, si nous ne voulions pas mourir. Ils nous ont dit que la prochaine fois qu'ils reviendront, ils  feront un carnage." A déclaré Djibril Badji, le chef du village de Singhère Diola. A la tête d'un groupe de "pionniers du retour", Djibril Badji avait pourtant cru que l'heure était venue de mettre un terme à 28 ans d'exil.