L’ex hébergeuse de la célèbre masseuse, Adji Raby Sarr, est une fois encore sortie de sa très longue hibernation, groggy qu’elle a été de voir tous ses plans à l’eau depuis l’accession de Bassirou Diomaye Faye au pouvoir. Une fois encore, elle est dans la tentative de manipulation pour s’offrir de la publicité gratuite.
Dans un message repris, par l’ensemble de la presse en ligne, elle a laissé entendre qu’elle est sous le coup d’un mandat d’arrêt et que “si (elle) devait aller en prison dans le cadre de (son) combat pour la cause féminine, (elle) le ferait avec fierté.” Informé de cette nouvelle dans laquelle l’auteur du post fait des insinuations, en parlant de “journalistes d’investigation en recherche de buzz”, Kéwoulo a cherché à connaitre les raisons d’un tel mandat d’arrêt.
Et, à en croire des sources judiciaires, “aucune notice concernant Gabrielle Kane n’a été émise.” Considéré comme un moyen coercitif, le mandat d’arrêt est souvent délivré par le procureur de la République, le président de la cour d’Assises, le président du tribunal correctionnel, le président de la chambre de l’instruction, la cour d’appel, toute cour ou tribunal correctionnel.
Et lorsque ce genre de document est délivré, il est envoyé directement aux commissariats de police et aux brigade de gendarmerie. Dans le cadre de son affaire, à elle, Kéwoulo est en mesure de dire que aucun mandat d’arrêt, d’amener ou de recherche concernant Zakiyatou Kane dite Gabrielle Kane n’est en cours sur le territoire sénégalais.
Un juge d’instruction français a bien émis un mandat d’arrêt européen contre Gabrielle KANE pour soustraction d’enfant mineur et déplacement illégal en dehors de la république française.
Gabrielle KANE n’a respecté aucun des jugements français et notre fille est également recherchée par la France.