Propos belliqueux contre la presse : Birahim Seck remonte les bretelles à Ousmane Sonko

Le Premier ministre Ousmane Sonko est interpellé pour son rôle crucial dans le renforcement et la consolidation de la presse. Il est impératif que les médias ne se sentent pas menacés et qu’ils puissent exercer leur fonction en toute sécurité. Désormais au pouvoir, Sonko doit abandonner la posture d’opposant pour se concentrer sur la fourniture de solutions durables et rassurantes, en accord avec les principes démocratiques.

“M. le PM Ousmane Sonko, votre rôle est d’apporter des solutions durables pour fortifier la presse et la consolider. Elle ne doit pas être, ni se sentir menacée. Vous n’êtes plus dans l’opposition mais dans la position d´apporter des réponses rassurantes et démocratiques”, a écrit Biram Seck sur son compte X.

1 COMMENTAIRE

  1. Monsieur B. Seck a raison de penser que les journalistes comme tous les autres travailleurs doivent être protégés et leurs outils sauvegardés. Toutefois les détournements de deniers publics ne peuvent pas être tolérés du seul fait que leurs auteurs dont des journalistes ou des patrons de presse.
    Toute personne qui ne respecte pas les lois et règlements qui régissent le fonctionnement adéquat de son pays quel que soit son statut doit être sanctionné négativement. C’est à ce prix que le Sénégal pourra être sur les rampes de développement. Est-il normal de prélever des impôts sur les salaires de goorgorlu ou précompter la TVA sans les reverser aux impôts du seul fait qu’on travaille dans les médias? Je ne pense pas que les médecins, professeurs commerçants l pêcheur ou éleveurss sont moins utiles que le journaliste qui peut se permettre de prendre l’argent de tous pour le seul fait qu’il informe les autres.
    LES IMPOTS DOIVENT ETRE PAYES PAR TOUS LES PATRONS ET TRAVAILLEURS SANS DISTINCTION DE METIERS

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