Lorsqu’ont éclaté ses démêlés avec la justice, pour une histoire d’extorsion de fonds présumée (il fait trois mois de prison et l’affaire est toujours pendante), Souleymane Diawara a découvert les deux visages du monde du football. Le côté sympa et le côté sombre.
«Je pensais que mon image allait être salie, mais j’ai reçu des messages de soutien de nombreux clubs et dirigeants, rembobine-t-il dans un entretien avec Le Parisien. Je pensais aussi que certaines personnes seraient à mes côtés, et finalement elles n’étaient pas là… Disons que c’est du 50/50 : le foot est un monde de bâtards, mais il y a aussi des gens bien.»
