Insolite: La guerre des homonymes de Macky empoisonne les réseaux sociaux et indispose les partisans de l’APR

Insolite: La guerre des homonymes de Macky

Les deux femmes homonymes du président Macky Sall sont en guerre. Après l’audio de Awa Sène, alias Awa Macky, qui a critiqué “la gestion autoritaire” du président Macky Sall, c’est au tour de Coura Macky Sall d’entrer dans la danse. Et, celle qui depuis les Usa défend le patron de l’APR n’y est pas allée par quatre chemins pour tenter de décrédibiliser celle qui, depuis le Liban, défend le projet Macky Sall.

La guerre totale est déclenchée entre les partisans du président de la République. Première à se crêper le chignon, la responsable des femmes APR du Liban et celle qui, sur les réseau sociaux, se dit la première militante du parti présidentiel. A l’origine de ce pugilat médiatisé, se trouve la dernière sortie, sur Whatsapp, de Mme Awa Sène fustigeant le comportement du président Macky Sall qui resterait sourd aux demandes sociales des Sénégalais.

Dans cet audio d’une dizaine de minutes que Kewoulo -qui l’a reçu en premier- avait refusé de publier, celle qui s’est prénommée Awa Macky, par amour pour le chef de l’Etat, justifiait le fait que “des jeunes aient décidé de brûler des pneus devant le domicile familial de Macky Sall, à Fatick.” Choquée par les sorties incendiaires de son alter ego qui se trouve en Asie, Coura Macky, l’autre homonyme du président, a décidé de lui faire la réplique.

Dans cette vidéo exclusive, obtenue par Kewoulo, celle qui vit aux Usa et qui s’est signalée dernièrement dans les réseaux sociaux avec l’enregistrement clandestin qu’elle avait fait de Ousmane Tounkara, un pourfendeur du chef de l’Etat, ne va pas par quatre chemins pour s’en prendre à celle qui a osé mettre le doigt sur les frustrations des populations.

Et cet échange peu amical n’a pas l’heur de plaire aux responsables du parti présidentiel qui assistent impuissants à cette guerre fratricide qui risque de laisser des traces tant est que les deux Mackillées n’ont pas froid aux yeux et n’ont aucune gène lorsqu’elle doivent débiter des énormités.

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